Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

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Brèves de comptoir

Dernier ajout : 2 mai 2017.

Articles de cette rubrique

  • janvier 2012, suite et fin...

    18 mars 2012, par Dominique Villy

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    Il commente un article du quotidien :
    " Quand même, à 18 ans, il braque une arme sur un flic ! Faut quand même en avoir une sacrée paire ! Mais non ! C’est qu’ils n’ont rien dans la tête, ces types-là ! Ouais ! Et ça, c’est bien la faute aux profs ! Ils leur foutent pas assez sur la gueule ! C’est sûr. Mais tu penses bien, les profs, ils peuvent pas. Tiens, c’est pas comme vous, les douaniers ! Vous avez tous les droits, vous, les douaniers ! Ouais. À l’époque on avait tous les droits ! On f’sait (...)

  • Brèves de comptoir, janvier 2012...

    16 mars 2012, par Dominique Villy

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    Le même forain, s’adressant au serveur :
    « Alors, on va manger des sussis, maintenant ?
    des quoi ?
    des sussis ! Ça ouvre aujourd’hui, en face !
    Ah ! Des sushis ?! Y z’ont ouvert hier !
    Hier ? Merde ! »
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    Le serveur apporte des café à la tablée des clients habituels.
    « Ah ! Voilà les cafés...sans ticket de caisse...C’est des p’tits noirs au noir ? »
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    Un client, à propos du naufrage du paquebot italien :
    « Un milliard d’euros, que ça va coûter aux assurances, ce naufrage ! Qu’est-ce qu’ils (...)

  • Janvier 2012, suite

    15 mars 2012, par Dominique Villy

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    La même cliente bavarde :
    « Tiens, voilà le père Machin !
    Il a pas l’air bien fatigué !
    Tu penses, c’est un ancien fonctionnaire. Tu ne l’as JAMAIS vu fatigué !... Un ancien fonctionnaire, que j’te dis ! »
    Le père Machin :
    « C’est pas ça : Ce qui compte, c’est de savoir récupérer. »
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    Le serveur, s’adressant à une tablée en désignant un vieux client :
    « Pfff ! Quarante ans qu’il est en retraite ! Comment veux-tu que Sarko s’en sorte, avec des cocos comme lui ?! »
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    Un des compères entr’ouvre la porte (...)

  • Brèves de comptoir - janvier 2012

    13 mars 2012, par Dominique Villy

    1 « Je vois que le journal est pris ; je vais attendre qu’il se libère... Si ça se trouve, je vais avoir le temps de boire 15 cafés, je vais sortir de là fin énervé, et j’aurai même pas lu le journal ! Je vais finir par l’acheter, le journal ! Ça me coûtera moins cher !! » .................................................................................................................
    2 « Il fait bien chaud, ici ! Oui, je sais bien que j’ai que des vieux, comme clients : je les habitue depuis maintenant, (...)

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