Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Chute à vélo

    18 mars 2012, par Dominique Villy

    Ce matin, c’est pas "tombé", que je me suis, à vélo ! C’est "viandé" !
    Viandé comme 100 kg de mou de veau qui tomberaient de l’étal du boucher.
    Splatch !!
    VI-AN-D É !
    Je descendais vélotement et avec célérité l’avenue Villarceau, sur le trottoir (Attention : trottoir par-ta-gé piétons/cyclos, j’suis correc, comme gârs), et tout au bout, à l’angle Villarceau/Félix Vieille/ Siffert, faut calculer juste, entre ceux qui montent Siffert, ceux qui quittent Siffert pour Félix Vieille.
    Mais on m’appelle "Renard", (...)

  • Gurus, par la compagnie Karam Residual

    17 mars 2012, par Dominique Villy

    Ces cinq gourous Barcelonais ont créé leurs instruments percussions bricolés transportables avec des matériaux de récupération : tuyaux, bidons, caisse, barils, bouts de métal…
    Ils lancent un transe électro radicale collective et très acoustique en machinerie manuelle.
    Cette techno percussive recyclable sonne comme une musique organique, joyeuse, et se termine dans un grand éclat de rire.
    Chalon dans la rue 2010
    Photographies Dominique (...)

  • Ultime Exil, par la Compagnie Giosilu

    16 mars 2012, par Dominique Villy

    Giosilu
    Formés chez Ultima Vez et Ex Nihilo, Lisa da Boit et Giovanni Scarcella ont su créer un style propre et s’imposer peu à peu comme une des valeurs montantes de la scène chorégraphique belge (sélection pour le Prix de la Danse 2007 et coup de cœur de la presse avec Ultime Exil).
    Giolisu cultive une capacité étonnante à nous plonger dans des univers émouvants, à la fois inédits et évidents de simplicité, qui permettent d’emmener le spectateur vers des chorégraphies d’une esthétique implacable. (...)

  • Angelo ma non troppo, par la compagnie Érectus

    16 mars 2012, par Dominique Villy

    Ils sont trois.
    Ce sont des anges ou presque.
    Ouvriers de l’au-delà, ils viennent pour murmurer un appel au public. Ils ont le lieu du rendez-vous ; mais ils ne savent plus qui ils doivent ramener.
    Une fois sur terre, submergés par les instincts humains, Ils retrouvent leur regard d’enfant.
    À la manière du clown, ils plongent au coeur de la rue et de son univers. Fragiles, ils oscillent entre leur mission et leur envie.
    Mais c’est toujours vers le jeu et le rire qu’ils finissent par se (...)

  • Les pieds sur la nappe, par le Group’ Berthe

    16 mars 2012, par Dominique Villy

    Une nappe aux dimensions hors du commun, réalisée au crochet est posée au milieu d’une rue.
    Un ouvrage investit à la hussarde par 4 femmes et avec elles leurs interrogations "c’est quoi être une femme aujourd’ hui ?"
    Une femme parfaite ou qui essaie de l’être : en recherche de mieux, de plus, souvent insatisfaite, exigeante...
    Elle s’organise, bouscule, fait des choix, doit les assumer au risque de se prendre les pieds dans le tapis et des tartes dans la gueule.
    Un spectacle dansé, craché,tendre, (...)

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