Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Accueil > Diaporamas > Danse > Les Ondes Gravitationnelles, par la Compagnie Retouramont

Les Ondes Gravitationnelles, par la Compagnie Retouramont

dimanche 13 octobre 2013, par Dominique Villy

Une nouvelle expérience pour l’espace public.

Donner à entendre le « chant gravitationnel »

« Au travers de ce projet, j’ai envie de placer le spectateur en observateur d’une expérience volumique à grande échelle dans l’espace public. Je voudrais créer lors de cette expérience une bulle de perception qui englobe le spectateur-observateur dans une rêverie gravitaire, visuelle, chorégraphique et sonore. » - Fabrice Guillot

Une exploration chorégraphique au cœur d’une installation plastique

Un objet plastique vivant, habité.

La COMPAGNIE Les Ondes Gravitationnelles zoome sur le corps dansant par l’amplification du son qu’il produit et qui envahit l’espace de la représentation. Partager avec le public la sensation de renversement vécu par les interprètes dans leurs évolutions verticales et la griserie d’un espace ouvert à la danse dans toutes ses dimensions, est alors possible !

L’expérience bouleverse la perception habituelle du site, en dévoilant une part de l’inaudible et de l’invisible.

Créer et habiter un espace aux dimensions multiples

La sculpture de Vincent Brédif crée un premier plan visible en avant de la façade, et offre un espace en profondeur pour la danse. Les corps habitant cet espace interagissent avec les images 3D. L’ombre de cette sculpture habitée, projetée sur des bâtiments alentours, ancre l’expérience gravitaire dans l’espace public.

Un travail sonore et plastique

La vibration des cordes traduites en sons permettent d’entendre le son d’une chute au ralenti, d’un vol latéral, de l’extraction du corps de son support, des pas sur le mur. La danse produit l’environnement sonore, la partition. Au travers d’un système de multidiffusion, le spectateur est immergé dans le bain sonore de la danse.

Les images en 3D réelles

Ces images permettent de modeler l’architecture, de l’ouvrir, la pencher, la traverser. L’image ignore la gravité. En interaction avec les corps pesants des danseurs nous pouvons jouer de cette « apesanteur » de l’image, et reproduire une gravité de synthèse.

Festival Chalon dans la Rue

Juillet 2013

Portfolio