Le théâtre est en grand danger et ils veulent prouver qu’ils sont encore capables d’en faire.
Ils espèrent que l’événement sera couvert par la presse.
L’Oeil de Dom y était...
Besançon, ce mardi 26 mai 2020...
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Théâtre de rues
Dernier ajout : 18 mars.
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Enterrer les morts, réveiller les vivants...
26 mai 2020, par -
Studio Eclipse, Two Sink three float, Festival Furies en Champagne 2011...
11 mai 2020, parDeux femmes et un homme dansent sur l’eau, sur un plateau-radeau, mouvant en fonction des mouvements.
L’eau est comme un champ électrique où les personnages ne cessent de rechercher des situations d’intimité, de distance, de compromis, de fusion et de conflit.
Révélateur des corps et des imaginaires aquatiques, le spectacle dérive devant nous, tantôt en suivant le courant, tantôt en s’y heurtant (...) -
Silence encombrant, par la compagnie Kumulus, Festival Furies en Champagne 2011...
11 mai 2020, parUn globe terrestre, un capot de voiture, une cage à oiseaux, une poupée, une machine à laver…
Tous ces objets cassés sont sortis d’une benne à ordures et transportés à la force des bras d’individus fragiles, à la volonté inébranlable.
À pas lents et hésitants, le visage couvert de poussière, le clown, le gendarme, la prostituée, le poète et les autres (se) traînent et posent les déchets sur le bitume transformant l’espace en décharge.
Dans le silence hurlant de sons, de débris raclant le sol, de chocs et de (...) -
La fanfare électrique, par la compagnie Midi 12...
11 mai 2020, parDes rockers extrêmement doués, tout de rose vêtus, qui déambulent à travers la ville...
Festival d’Aurillac 2010... -
Le parfum des pneus, par la compagnie Jeanne Simone...
9 mai 2020, parIls sont deux, qui passent ici, qui se fondent dans le flux urbain de cet angle de rue.
Duo de corps, on lit sa rondeur à lui, sa délicatesse à elle.
Il s’effondre, fracassant, pendant qu’elle fait corps avec le bitume ou s’enroule autour d’un réverbère.
Leur bande sonore : la respiration d’un bus, une porte qui claque, la radio du boulanger.
Ils respirent la rue, embrassent les contours d’un trottoir, observent, immobiles, un pigeon.
Ils s’enchevêtrent, prenant appui l’un sur l’autre, l’un sous (...)
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