Tout commence, ou tout à commencé, on ne sait pas trop, mais ça s’active en piste. On veille à ce que tout le monde soit bien installé.
Les quatre acrobates nous invitent à cette assemblée où l’expression est autant physique que verbale. Corps et mots en fusion, ils dissèquent sur des musiques de Wagner et de Noir Désir les rapports humains et le monde dans lequel ils évoluent.
À travers la bascule, le chant, l’échelle libre, le mât chinois, le lancer de couteaux, le texte et l’acrobatie sur bidons, (...)