À la veille du festival, les préparatifs vont bon train. Pour une visibilité maximale, il faut afficher, afficher et encore afficher. Bientôt, chaque recoin de la ville sera recouvert.
Festival Chalon dans la Rue
Juillet 2014
Œil de DOM
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Carton, colle, ficelle, fil de fer...
6 août 2014, par -
Si tu me croises, par la Compagnie Post Scriptum...
4 août 2014, parDes corps encordés et désaxés, en fragile déséquilibre. Un jeu fluide et chaotique où il est toujours question de se confronter aux limites, de jouer de la gravité, de pousser le corps dans ses retranchements.
La relation d’interdépendance et le besoin de liberté plongent l’homme dans des paradoxes permanents. A trois, ils vont chercher l’équilibre dans ce déséquilibre incessant.
Un parfait chaos…du lien qui attache au lien qui libère amenant à vivre en permanence sur le fil.
Et le risque, la (...) -
Suspend’s, par la Compagnie 9.81...
1er août 2014, parCourir, voler, sauter, danser, se suspend’...re à la verticale.
En corde et en élastique, en duo, trio, quatuor... saltos, vrilles et autres pirouettes deviennent un langage dansé dans lequel le spectateur s’immerge.
Observez le jeu de ces oiseaux singuliers qui dans une chorégraphie légère et rythmée se jouent de la gravité sur une musique propice au rêve et à l’évasion.
Une danse voltige, verticale, vertige...
Renversante de perception.
Festival Chalon dans la Rue.
Juillet (...) -
"Liegen 0°", par la B.K. Compagnie...
1er août 2014, parLiegen 0°
Redonner au bitume une place sans tabou.
Deux corps, l’asphalte, le mouvement et les sons.
Une danse non narrative, des dynamiques, des énergies, un échange physique entier et sans concession.
Il ne s’agit plus de danser sur le bitume mais avec, à cause, à travers, pour.
Explorer un monde de perception autre et créer un lien à la rue différent.
Chercher l’intensité, étirer les sens, caramboler les images, secouer l’imagination.
Liegen 0° est une danse performative du corps qui urbanise (...) -
Le public des festivals de théâtre du rues...
31 juillet 2014, parQuand il pleut, il s’abrite comme il peut.
Quand la chaleur est torride, il se protège comme il peut.
Quand il s’ennuie, il lit le journal.
Quand il est mécontent, il râle, prépare son itinéraire ou fait des mots croisés.
Ou il reste chez lui.
Parfois, il se travestit en simili punk à chien ou en angelot...
Ou il mange.
Il retient son souffle devant l’exploit.
Ou il fait son (...)
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