Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Ridicule !

    15 novembre 2012, par Dominique Villy

    Mercredi 14 novembre 2012.
    C’est le matin.
    Je prends un café à ma terrasse favorite, Place de la Révolution. Le soleil commence à percer le brouillard, des lambeaux de bleu zèbrent le ciel, il fait bon. Je jacasse avec deux ou trois habitués, je réponds aux vannes du serveur, particulièrement en verve ce matin. Je tente de lire un article de Libé.
    Et tout à coup la musique monte de je ne sais où.
    De la vraie musique.
    Pas de la musique en boîte.
    Une guitare, des percus et deux voix.
    Je me tors le (...)

  • Portraits de rues

    14 novembre 2012, par Dominique Villy

    Quand tu te promènes dans les rues d’une ville pendant un festival, tu te rends rapidement compte que le spectacle est partout...

  • L’apéro

    12 novembre 2012, par Dominique Villy

    Ils sont juchés sur deux tabourets de bar, visiblement mal à l’aise. Ils sont à l’affût de quelque client qui quitterait une table et deux chaises plus adaptées...
    Tout à coup, ils s’empressent. Ils trottent maladroitement et s’emparent des objets convoités.
    La serveuse leur apporte les deux pastis commandés. L’un d’eux examine très attentivement la note en affichant une séries de grimaces circonstanciées.
    Avec un bel ensemble, ils portent à leurs lèvres leurs pastis que, dans un souci d’économie d’eau, (...)

  • Angelo ma non troppo, par la compagnie Érectus.

    10 novembre 2012, par Dominique Villy

    Une autre version de "Angelo ma non troppo", par la Compagnie Erectus, cette fois au Festival Chalon dans la rue, en juillet 2012.

  • Et pourtant..... !

    9 novembre 2012, par Dominique Villy

    Et pourtant, je m’étais promis de ne pas y succomber.
    "Non ! Cette année, je n’y touche pas. C’est pas négociable, et pis c’est tout !"
    C’est vrai : à quoi ça sert ?
    D’une année à l’autre, c’est PAREIL !
    Alors, hein ?!
    Et puis, en fin de compte, qu’est-ce que j’en ai à faire, des ors, des mordorés, des symphonies de jaunes éclatants, des roux, des acajous, des miels caramélisés, hein, qu’est-ce que j’en ai à faire ?
    Bon, c’est tout.
    Alors j’ai sorti le vélo.
    Et j’ai glissé un boîtier dans mon sac.
    Et (...)

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