L’intrusion d’un inconnu dans des groupes constitués et identifiables m’a toujours semblé être le summum du canular. Le décalage complet, c’est être là où personne ne vous attend.
On se souvient (peut-être), à l’époque Mitterrand, de ce type complètement étranger aux sphères politiques qui se faisait fort de paraître sur les photos des magazines, dans le sillage des « grands de ce monde ». Avouons que parmi la brochette de guignols, il était souvent le plus drôle.
A notre niveau moins médiatisé, on a tous (...)