Lundi 5 avril, mardi 6 avril, mercredi 7 avril
Le confinement affûte l’imagination.
Habitué à me dépenser sans compter, à partir par tous les temps à vélo, sur les chemins des environs, en grandes boucles où en aller simple et retour par les TER qui desservent régulièrement les bourgades des bords du Doubs, Dôle, Montbéliard ou Baume les Dames, je trouve pénibles les premières journées d’enfermement. Le corps regimbe de n’avoir pas usé ses forces. Dévaler, et remonter, dix ou quinze fois de suite les 76 (...)