Affalé dans le canapé, je m’octroie une pause bienvenue.
Une jolie pile de romans suédois à portée de main, mais elle attendra un peu. D’abord un café, puissant, parfumé. Puis je m’y remets.
L’ordi ronronne gentiment, comme un matou repu. Il brasse et mouline les données que je lui mets en pâture depuis quelques semaines. C’est un recherche à propos des compagnies de théâtre de rues que je fréquentais assidûment depuis un quart de siècle, jusqu’à l’entrée en scène de cette saloperie de virus.
Compilation, (...)